Avec un taux de refus de 46,8% au Sénégal en 2024 (3e plus mauvais score africain), autant dire que les agents consulaires ont leurs petites habitudes. Voici les profils qui les font immédiatement suer :
L’ennemi public numéro 1. Dans leur tête : “Il va partir et ne jamais revenir !” Ton célibat devient automatiquement synonyme de “risque migratoire élevé”. Même si tu as un CDI, un appart et trois ladoum bien costauds qui t’attendent pour Opération Tabaski, tu restes suspect.
“Ressources instables”, qu’ils disent. Peu importe que tu aies monté ta boîte avec 5 millions, si elle n’a que 3 ans d’existence, tu es catalogué “précaire”. L’ironie ? Les mêmes qui prônent l’entrepreneuriat au Sénégal avec des dizaines de sessions d’incubation dans l’année. Nous ne sommes pas des poussins frère !
“Liens familiaux insuffisants” – la phrase magique qui tue. Ton cousin germain devient soudainement un “lointain parent” aux yeux de l’administration. Même avec 20 ans de correspondance WhatsApp, 12 Millions de francs d’envoi Wave cumulés, ça ne suffit pas.
“Profession à risque” – comme si tenir un appareil photo rendait automatiquement clandestin. Les métiers créatifs sont perçus comme “non stables”, même avec un portfolio de 10 ans et des contrats signés.
Le comble ! Après 35 ans de labeur, ses “garanties de retour” deviennent “faibles” parce qu’il n’a plus d’employeur. Même avec 10 millions en banque, son 3e âge joue contre lui.
Le verdict ? Ces profils cumulent 80% des refus. La solution ? Mentir sur son profil maybe… ce que Walabokk ne recommande officiellement bien sûr. Saay néy leer rek, bou bakhoul khaîroun !
